Le Parc national de matériel de génie civil, créé en en 1967, nourrit désormais l’ambition d’entretenir les routes dans 133 communes du pays.
Le directeur général du Matgénie, Désiré Abogo Ntang, parle de la nouvelle approche de travail avec les communes dans le secteur de l’entretien routier, comme la révolution à ne pas louper. La formule est bien ciselée sous l’acronyme de la SACIR qui signifie Stratégie d’accompagnement des communes dans leurs initiatives routières. Dans la volonté d’accompagner les communes, le Parc national de matériel de génie civil a signé des conventions de partenariat avec 133 communes, depuis 2014. Le top management actuel s’attèle à mettre en route cette nouvelle approche et à y apporter des corrections appropriées au fur et à mesure. « C’est pour corriger les insuffisances observées et tenir compte du nouvel objet social du Matgénie qu’a été élaborée la SACIR », précise le directeur général du Matgénie. L’offre du Matgénie, à savoir la Sacir, est à la portée des communes. La formule est basée sur la création des brigades mobiles d’entretien routier. Selon les détails, chaque brigade est affectée à une zone géographique donnée et sur la base d’un calendrier arrêté et publié, elle parcourt la zone délimitée, commune après commune, pour l’exécution des travaux routiers, préalablement identifiés par les maires concernés sur la base des financements disponibles. Cette offre englobe principalement l’assistance technique, l’exécution des travaux routiers et la mise à disposition du matériel du génie civil. Pour les communes concernées, la SACIR présente donc plusieurs avantages, parmi lesquels la réduction, voire l&rsq...
Commentaires