L ’or a soufflé le chaud et le froid la semaine dernière. En plongeant de 9%, le métal jaune a en effet enregistré sa plus forte baisse depuis 1983, soit 37 ans. L’effondrement des places boursières consécutif à la pandémie du coronavirus n’a pas épargné le métal précieux, dont la valeur refuge est désormais menacée. L’or avait atteint un pic le 9 mars dernier, en s’établissant à 1700 dollars l’once, soit plus d’un million de F. de l’avis de François de Lassus, consultant pour CPoR Devises, l’once a gagné, entre le 18 mars 2019 et le 16 mars dernier, 14% en dollars et 16% en euros. Contre toute attente, le 16 mars, les cours sont retombés à 1487,70 dollars, soit 910 000 F. Au plus fort de cette baisse, fait observer ABCbourse, le métal jaune a abandonné 15 % en ligne droite pour tomber jusqu’à 1450 dollars (887 350 F) l’once, son plus bas niveau depuis novembre 2019. Par conséquent, les portefeuilles des investisseurs accusent un sacré coup. Ces derniers sont contraints de vendre leur or pour éponger les pertes enregistrées sur les autres actifs, comme les actions et les matières premières. Au Cameroun, les perspectives d’exploitation de l’or sont encourageantes avec un projet de migration de la mine artisanale vers la mine industrielle. Le 29 novembre 2019, une conv...
- Fil Eco
- Enquête de la semaine
-
Marchés & FINANCES
-
Marchés
-
Finances
-
-
Cahiers de l'entreprise
-
Catégories
-
-
-
-
-
- Made in Cameroon
- Débats et analyses
- World Business
Commentaires