S ’achemine-t-on vers une période faste pour le pétrole après la baisse historique des cours enregistrée ces dernières semaines ? Peut-être non. Mais, les cours de l’or noir ont pris une courbe ascendante lundi dernier, suite notamment à l’annonce de l’Arabie Saoudite de réduire d’un million de barils sa production journalière. Lui emboîtant le pas, le Koweït et les Emirats Arabes-unis ont annoncé des baisses de production volontaires de 80 000 et 100 000 barils de pétrole par jour. Ces nouvelles coupes viennent s’ajouter à celles consenties par les pays de l’OPEP+ et qui entrent en vigueur dès le 1er juin prochain, soit environ 10 millions de barils de pétrole en moins. Mardi 12 mai dernier, le cours du pétrole restait sur sa remontée. Sur le marché londonien, le baril de Brent pour livraison au mois de juillet se négociait à 30,07 dollars (environ 18 213 F), en progression de 1,48%, selon la plateforme en ligne zonedebourse.com. La plateforme trandingview, pour sa part, indiquait une hausse de 3,6% du cours du brut américain (WTI), mardi dernier vers midi. De l’avis de certains experts, plus les pays producteurs consentiront à des coupes supplé...
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