Représentant plus de 80% de l’offre de formation professionnelle, ils côtoient environ 300 centres publics de formation (SAR/SM).
S elon la Fédération nationale des associations des centres et instituts de formation professionnelle agréés au Cameroun (Fenacifopa), plus de 2500 centres de formation professionnelle sont en activité sur le territoire national, dont un peu plus de 2250 centres de formation privés agréés. Ces chiffres ont été révélés le 30 août dernier à Yaoundé, lors de la signature d’une convention-cadre avec le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle (Minefop). A côté de ces structures privées s’ajoutent environ 300 SAR/SM à vocation publique. Et parce que le secteur privé représente plus de 80% de l’offre de formation agréée d’après le ministre Issa Tchiroma Bakary, il est important de relever le défi de la qualité. La convention signée avec le gouvernement va permettre de « résoudre ce problème en donnant une part importante aux acteurs privés pour développer des programmes adaptés et une ressource humaine adaptée aux besoins de l’emploi », relate Charles Mboning, président de la Fenacifopa. L’objectif de ce partenariat public-privé qui est adossé à l’article 45 de la loi du 11 juillet 2018 régissant la formation professionnelle au Cameroun, est d’avoir des apprenants capables de répondre aux attentes des entreprises et de créer leurs propres entreprises à travers une approche entrepreneuriale. Il est davantage question d’assurer l’adéquation formation-emploi. Et parce qu’il est important de se constituer en branches professionnelles pour être plus efficaces, l’Association nationale des visiteurs médicaux du Cameroun (Anvmc) a également signé une co...
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