L e Cameroun a une carte à jouer dans l’univers des technologies de la quatrième révolution industrielle. Et il n’est pas question de rater ce tournant de l’histoire qui se joue et va se jouer avec la technologie blockchain. Le décor a été planté par Alphonse Nafack, premier vice-président du conseil des membres d’honneur de l’association camerounaise de la Blockchain, lors d’une conférence-débat de haut niveau organisée sur la thématique le 2 août dernier à Douala. La technologie blockchain est une sorte de registre d’informations partagé qui permet de décentraliser l’appropriation, le management, la dynamique autour des données, des transactions et des prises de décision. Il existe trois formes : la blockchain publique où la copie de la donnée est accessible à tout le monde qui peut y accéder sans accès supplémentaire ; la blockchain privée qui fonctionne à la base comme une blockchain publique, mais permet de sélectionner les participants qui sont à l’intérieur ; et la blockchain de consortium qui est un mixe entre les blockchains privée et publique. De plus en plus vulgarisée, la blockchain constitue un outil de rattrapage technologique, d’authentification et de démocratisation de l’information, à en croire le directeur général de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS), Alain Noël Olivier Mekulu Mvondo Akame. C’est sur la base d’une telle plateforme que la société assure les paiements effectués en ligne, apprend-t-on. Par ailleurs, les experts sont unanimes à dire ...
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