Au moment où l’exportation des essences classiques comme le doussié, l’acajou d’Afrique, le padouk est conditionnée par la délivrance des avis de commerce non préjudiciable (ACNP) qui réduit la taille des potentiels clients, le Cameroun dispose d’essences moins connues, qui gagneraient à être explorées pour renforcer le commerce durable du bois. Selon les résultats d’une équipe de chercheurs de l’université de Gembloux (Belgique) coordonnée par Robin Doucet, plusieurs essences moins connues à fort potentiel commercial ont été identifiées au Cameroun. A l’instar de l’omvong, de l’eveuss, du mubala, de l’eyek et de l’ossoko. L’Association technique internationale des bois tropicaux (ATIBT) ajoute d’ailleurs que la valorisation de ces essences moins connues est importante pour « empêcher la surexploitation des espèces commerciales et réduire leur potentiel de r&ea...
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