Le 14 mai dernier, les responsables de l’entreprise Kikot-Mbebe Hydro Power Company (KHPC) ont eu une séance de travail avec près d’une trentaine d’organisations de la société civile (OSC) à Yaoundé. Au menu des échanges : présenter les évolutions en cours dans le cadre du projet, échanger sur les préoccupations des OSC par rapport aux activités menées sur le terrain et recenser leurs avis sur les initiatives de la KHPC. L’enjeu, pour l’entreprise, se résume à les mettre au même niveau d’information, de manière à partager un certain nombre de données et à mieux éclairer sur la démarche mise en œuvre pour la réalisation du projet d’aménagement hydroélectrique. « Cela participe d’une approche de transparence. Nous considérons les OSC comme des parties prenantes, car elles interviennent en termes de surveillance dans le cadre du respect de certains engagements environnementaux et sociaux. Que ce soit dans les problématiques comme les droits des communautés riveraines, l’approche genre, les projets de développement, les questions liées à la préservation de la biodiversité, la santé, l’éducation, les droits des femmes… », explique Eric Pela Ondobo, Head of Communications à la KHPC. Relativement aux avancées du projet, il y a une évolution avec l’ouverture officielle de la dataroom (plateforme virtuelle chargée de recueillir les candidatures des potentiels constructeurs du barrage, selon les normes de la Banque mondiale; Ndlr) le 6 mai dernier à Yaoundé. L’ouverture des lettr...
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