Le riz et l’oignon sont deux spéculations très prisées et abondamment cultivées dans les régions du Nord et de l’Extrême-Nord. Ces dernières années, ces deux cultures saisonnières font face aux affres du changement climatique. C’est pour trouver des voies et moyens pour relancer la production de ces céréale et légume que le projet « Promouvoir la neutralité en matière de dégradation des terres (NDT) et atténuation des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans la zone agroécologique soudano-sahélienne du Cameroun » a réuni les acteurs des deux filières, pour réfléchir sur la question. Ils sont venus de plusieurs localités de l’Extrême-Nord et du Nord, pour assister à l’atelier de validation des rapports de l’analyse des tendances et des facteurs de dégradation des terres pour la production du riz et de l’oignon, y compris l’examen des politiques pertinentes et des arrangements institutionnels pour la gestion des terres au niveau local. C’était également l’occasion pour le projet de faire un examen participatif, une hiérarchisation et une documentation des pratiques et politiques de gestion des terres pour atteindre les objectifs de la neutralité en matière de dégradation des terres. Durant les deux jours, les participants ont parcouru, sous la supervision du coordonnateur technique du projet, Dr. Wassouni, les deux rapports du consultant. Le premier n’était autre que le rapport de l&...
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